
L’Etat malgache, Madagascar – dans ses transactions financières publiques – a, jusqu’à ce jour, toujours et régulièrement honoré sa signature ! Voilà une information importante émanant de banquiers importants de la place, constituant un marqueur économique, qui mérite l’attention de tout candidat à l’investissement dans la Grande île. Ceci étant, cette donnée économique malgache, qui s’inscrit dans une séquence d’une vie financière mondiale vivant dans un environnement particulièrement turbulent, devrait inviter toutes les parties prenantes de la vie nationale à réfléchir à un redimensionnement de l’économie du pays pour les années à venir.
Un événement économique d’utilité publique ! Pour sa part, la FIM, dont la posture événementielle n’a pas variée au fil des éditions, à savoir agir pour favoriser l’émergence d’une industrie nationale, améliorer le niveau d’attractivité du pays, augmenter l’offre exportable de nos produits, encourager les Investissements Direct Etranger (IDE) à Madagascar,…, sont des pulseurs qui devraient permettre que Madagascar puisse rejoindre le plus vite possible la liste des pays émergents.
Adhésion du secteur privé ! Quoiqu’il en soit, l’événement FIM, qui a été largement plébiscité par le secteur privé, par les pouvoirs publics tant nationaux, régionaux qu’internationaux et également par les visiteurs professionnels ou ordinaires, va continuer à s’inscrire dans la volonté d’un progrès économique et à un souhait de consolider la solidarité des élites économico commerciales autour de la FIM en recherchant, par des pensées innovantes, le mouvement dynamique nécessaire pour un développement économique soutenu et durable de cette jeune nation.
Un nouveau pôle mondial de croissance ! N’ignorant en rien des enjeux macro économique en cours dans la région Sud-ouest de l’Océan Indien et convaincu de la nécessité de mutualiser les atouts économiques des pays de la région, la prochaine édition de la FIM travaillera également à encourager l’esprit d’entreprise à Madagascar. Ne l’oublions pas, le pays, sans le secteur privé, n’aurait pas été en mesure, au cours de ces dernières années, de faire face à ces obligations financiers. Alors que le temps économique prouve régulièrement son dynamisme face à un temps politique souvent plus immobile et paralysant, l’effort d’un regard et d’un esprit global de l’homo economicus madagascariensis sera la condition sine que non à une percée économique solide de la Grande île.
Mettons nous à nouveau en marche pour une pratique loyale et profitable des affaires à Madagascar, dans le cadre d’une véritable libre concurrence économique avec des règles du jeu identique pour tous. N’hésitez pas à vous manifester à l’occasion de la plus grande concentration économico commerciale de la région du Sud ouest de l’Océan Indien : la FIM !
Michel D-RAMIARAMANANA Jean Luc YVIQUEL